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[Summary of Beowulf with translations of selected passages, translated from English into French]

  • Genre/Type Descriptor(s)
    Summary
    Translation of Other
     
    Language(s)
    French
    Old English
  • Author
    Wright, Thomas
    Translator
    de Larenaudière, Philippe
  • Contained in
    Coup-d'oeil sur les progrès et sur l'état actuel de la littérature anglo-saxonne en Angleterre
    Location Details
    Pages 24-35 and 40
    City
    Paris
    Publisher
    Chez Silvestre
    Date
    1836
  • Relationships
  • Descriptive Notes

    Coup-d'oeil sur les progrès et sur l'état actuel de la littérature anglo-saxonne en Angleterre, translated by Philippe de Larenaudière, is a French version of Thomas Wright's 1835 English essay "On Anglo-Saxon Poetry." It is vol. 1 of the 2-volume work Anglo-Saxonica, edited by Françisque Michel and Philippe de Larenaudière (1836-37). The essay is preceded by a short preface by de Larenaudière (v-vii). Like Wright's original English version, the translated essay contains a summary of Beowulf within which are passages in translation alongside the Old English, and an additional translated passage with Old English after the summary, on p. 40.

    The English text underlying the translation slightly revises the published version of Wright's essay to include one additional passage of line-by-line Beowulf translation that was not present in Wright's published version. This accords with the statement in the preface that Wright has supplied "additions inédites" [unpublished additions] (vi).

    The summary begins:

    Beówulf, ainsi que Hercule, cherche la gloire en délivrant la terre des monstres et des oppresseurs. Il lui a été raconté que la demeure royale de Hrothgar, roi des Danois, était infestée par la présense d'un monstre marin (le grendel), qui, chaque nuit, pénétrait dans les murs du palais, et dévorait les guerriers endormis. A ce récit, un généreux sentiment s'élève dans l'âme de Beówulf; il se croit capable de se mesurer avec le monstre; car sa force, dit l'histoire, égalait celle de trente hommes. Suivi d'une troupe choisie de ses guerriers, il s'embarque pour les côtes du Danemark. (25)

    And ends:

    Il retourne ensuite dans son pays, couvert d'une gloire nouvelle, et chargé des présents du roi.

    Ici se termine la première partie du poème, qui va jusqu'au vingt-huitième chant, dont la fin, ainsi que tout le vingt-neuvième et le commencement du trentième, ont probablement p´ri par la mutilation du manuscrit. Nous avons ensuite une nouvelle histoire qui traite d'une expédition de Beówulf, vieux alors et devenu roi, contre un dragon qui dévorait ses dujets, et de sa mort dans cette circonstance. (35)

    The passages given in verse-by-verse translation alongside the Old English total about 110 lines. They are (1) the sea-voyage of the Geats to Daneland, (2) the beginning of the coast guard's challenge upon their arrival, (3) the conclusion of the coast guard's speech, (4) Beowulf's assurance to Hrothgar that if he fails, no funeral will be required, and the request that he send Beowulf's war-gear to Hygelac, (5) a generous selection from the confrontation between Unferth and Beowulf, and (6) Hrothgar's expression of grief at the death of Æschere. This last passage was not included in Wright's published English version.

    The long Unferth and Beowulf passage begins:

    Hunferth parla,
    Le fils d'Ecglaf,
    Qui était assis aux pieds
    Du seigneur des Scyldings;
    Il fit un discours querelleur.
    A lui était le voyage de Beówulf,
    Le hardi marin,
    Une affaire de grand embarras;
    Parce qu'il ne voulait pas admettre
    Qu'aucun autre homme
    Possédât plus de réputation
    Du monde
    Sous les cieux
    Que lui-même. (29-30)

    And ends:

    Je les servais
    De ma chère épée,
    Je faisais comme droit était.
    Aucunement du carnage
    Ils n'avaient de la joie,
    Les méchants félons
    De ce qu'ils se sont mêlés avec moi,
    Qu'ils se sont jetés sur moi tous à la fois
    Près le fond de la mer.
    Mais au matin,
    Blessés par les épées,
    Ils sont en haut
    Sur la grève
    Endormis par l'épée,
    En sorte qu'ils n'ont jamais depuis Détourné de leur route
    Les matelots
    Autour des gués bouillonnants. (32-33)

    As in Wright's English, at a later point the first three lines of the poem are translated (40).

     
  • Last Updated
    07/02/2024